Hector et Maxime ne sont pas les vrais prénoms, évidemment.
Il s'agit de deux pré-adolescents que notre petit groupe cherche à aider actuellement.
Ils ne se connaissent pas entre eux, n'habitent pas dans la même ville, mais leur histoire est similaire. On pourrait même dire qu'il s'agit de la même histoire, si on ne regarde pas dans les détails.
Enfants précoces, "intellos" comme on dit, ils ont été rejetés par la plupart de leurs camarades de classe, au collège, l'année dernière.
Un petit groupe de jeunes, à peine plus âgés qu'eux, se sont acharnés sur eux, voyant qu'ils étaient tout le temps dans leur coin, sans ami ou presque.
Hector et Maxime ont subi des violences tout au long de l'année.
Attirés dans un coin discret par d'habiles stratagèmes, ou de force, ou encore coincés dans les vestiaires du gymnase, ils ont été par exemple attachés, frappés jusqu'à en perdre connaissance, poussés dans les escaliers, etc.
Le traumatisme est tel qu'ils ne passent pas une nuit, ou rarement, sans de terribles cauchemars, avec l'angoisse de retourner dans le même collège à la rentrée, et de se retrouver face aux mêmes agresseurs, qui n'ont aucun scrupule, qui n'ont pas peur d'être renvoyés du collège et de s'en prendre à eux à l'extérieur de l'établissement.
Les autres points communs entre ces deux enfants et qu'ils n'ont plus que leur mère, que ces mamans semblent dépassées par les évènements qu'elles jugent sans gravité, et que leur petite enfance n'a pas été non plus des plus faciles, ce qui n'arrange pas leurs angoisses nocturnes, comme on peut s'en douter.
Ils ont bien essayé d'en parler, bien sur, mais ceux qui les ont frappé sont craints et "respectés" par les autres, si bien qu'ils peuvent facilement trouver des témoins en leur faveur. Ainsi, les victimes sont considérés comme des mythos, et personne ne veut les écouter.
(à suivre)
Il s'agit de deux pré-adolescents que notre petit groupe cherche à aider actuellement.
Ils ne se connaissent pas entre eux, n'habitent pas dans la même ville, mais leur histoire est similaire. On pourrait même dire qu'il s'agit de la même histoire, si on ne regarde pas dans les détails.
Enfants précoces, "intellos" comme on dit, ils ont été rejetés par la plupart de leurs camarades de classe, au collège, l'année dernière.
Un petit groupe de jeunes, à peine plus âgés qu'eux, se sont acharnés sur eux, voyant qu'ils étaient tout le temps dans leur coin, sans ami ou presque.
Hector et Maxime ont subi des violences tout au long de l'année.
Attirés dans un coin discret par d'habiles stratagèmes, ou de force, ou encore coincés dans les vestiaires du gymnase, ils ont été par exemple attachés, frappés jusqu'à en perdre connaissance, poussés dans les escaliers, etc.
Le traumatisme est tel qu'ils ne passent pas une nuit, ou rarement, sans de terribles cauchemars, avec l'angoisse de retourner dans le même collège à la rentrée, et de se retrouver face aux mêmes agresseurs, qui n'ont aucun scrupule, qui n'ont pas peur d'être renvoyés du collège et de s'en prendre à eux à l'extérieur de l'établissement.
Les autres points communs entre ces deux enfants et qu'ils n'ont plus que leur mère, que ces mamans semblent dépassées par les évènements qu'elles jugent sans gravité, et que leur petite enfance n'a pas été non plus des plus faciles, ce qui n'arrange pas leurs angoisses nocturnes, comme on peut s'en douter.
Ils ont bien essayé d'en parler, bien sur, mais ceux qui les ont frappé sont craints et "respectés" par les autres, si bien qu'ils peuvent facilement trouver des témoins en leur faveur. Ainsi, les victimes sont considérés comme des mythos, et personne ne veut les écouter.
(à suivre)